C'est sur les connards que j'ai décidé de taper aujourd'hui. Pour éviter tout malentendu entre vous et moi, chers lecteurs, qui bien plus nombreux que ma seule personne, et dont, j'en vois d'ici, certains, dont la carrure m'interdit à jamais la plus infime...

Chère page blanche, ah, si tu savais comme je te hais, ou plutôt même comme je te conchie à la folie passionnément. Donc te revoilà, tu me nargues avec ta morgue habituelle, dans ta joviale virtualité, qui cache mal ta parenté avec tes cousines en cellulose....